« Le 7 février, le président Joseph Biden affirmait en présence du
chancelier Olaf Scholz qu’en matière énergétique la politique allemande
se décidait désormais à Washington, et non pas à Berlin : « Si
la Russie envahit, c’est-à-dire si des chars et des troupes traversent à
nouveau la frontière de l’Ukraine, alors il n’y aura plus de Nord
Stream 2. Nous y mettrons fin. » On imagine la réaction de la Maison Blanche si l’Allemagne avait menacé de « mettre fin » à une grande infrastructure américaine en cas d’invasion de l’Irak…»
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et son média indépendant Autre interprétation intéressante : Le curieux whodunit des Nordstreams 1 et 2, Tom Luongo
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