"Voulouz
evit ar stomog", displegadennoù 'barzh ar video dre-zindan :
Saverien ha titouroù all : amañ
"Ça n'a rien à voir avec la politique" nous explique le prési-Roi.
En rouge les pays où les soignants sont interdits d'exercer, sans ressources, pour avoir refusé un produit expérimental qui ne fonctionne pas. Les réintégrer c'est avouer l'arnaque pseudo scientifique ayant permis cette mesure totalitaire, et c'est achever le narratif utilisé.
Rapport de la Cour des Comptes : le Ministère de l'Agriculture prend cher !
Après la mise en service de 90 "centaures", les nouveaux véhicules blindés de la gendarmerie, voici la plus grosse commande de lacrymos : 38 millions d'euros d'appel d'offre, des millions de bombes !
Aujourd'hui, il fait partie des 130 000 suspendus français. Dans la vidéo ci-dessous, il donne un aperçu de la violence qui s'est abattue sur le milieu médical : des médecins interdits de soigner, interdits de prescrire, des milliers de personnes "suspendues". La terreur des médecins, j'ai pu la mesurer il y a un an. Il nous a fallu consulter 3 médecins différents pour en trouver 1 qui accepte de nous soigner. Nous étions aux prises avec la gale, un parasite dont on se débarrasse avec... l'ivermectine. 2 médecins sur 3 ont refusé de nous soigner.
Les Guadeloupéens, toujours exemplaires.
Magnifique film ultra-réaliste à voir en ce 11 novembre. Troisième adaptation cinématographique du roman de Erich Maria Remarque paru en 1929 en Allemagne sous le titre "Im Westen nichts Neues".
Si vous vous demandez à quoi pourrait ressembler la prochaine guerre mondiale, le documentaire du journaliste australien John Pilger ci-dessous vous donnera un aperçu.
Bruno Bertez (patron de presse français spécialiste de l'information financière) devient chaque jour un peu plus éclairant sur son blog comme dans cet article :
Extrait :
Comprendre pourquoi les élites occidentales aspirent à une autre guerre mondiale n’est pas compliqué. Les États-Unis sont le plus grand pays débiteur du monde. À l’heure actuelle, la dette du gouvernement fédéral dépasse largement 100 % du produit intérieur brut (PIB) et s’ajoute à quelque 200 000 milliards de dollars de passifs dits non financés. Ces passifs sont liés aux obligations du gouvernement telles que les pensions des employés fédéraux, les soins aux anciens combattants, la sécurité sociale et l’assurance-maladie. Ils représentent la somme absurde de plus de 640 000 dollars par homme, femme et enfant aux États-Unis et plus de 1,7 million de dollars par contribuable.
Ces obligations ne pourraient jamais être honorées même si l’économie enregistrait une croissance solide.
Mais depuis la crise financière de 2008 et la dépression économique qui en a résulté, aux États-Unis la reprise économique a été la plus faible jamais enregistrée malgré une stimulation budgétaire et monétaire sans précédent qui a porté la dette totale du marché du crédit à 360 % du PIB.
Ces niveaux d’endettement sont devenus un obstacle à la croissance économique et ont rendu le pays vulnérable à de graves tensions sociales sur plusieurs fronts.
Les pensions publiques et privées à travers les États-Unis sont gravement sous-financées et des centaines de milliers de retraités découvrent déjà qu’ils doivent continuer à travailler pour subvenir à leurs besoins pendant leurs années de « retraite ». Pendant ce temps, les jeunes générations font face à un marché du travail faible et ceux d’entre eux qui ont fréquenté les universités ont accumulé collectivement 1,4 trillion de dollars de dettes...
Vols militaires de l'OTAN à destination de l'aéroport polonais de Rzeszów du 01 octobre au 01 novembre 2022 (source : https://t.me/ErwanKastel).
L'US Air Force affirme qu'il n'y avait "aucune intention des pilotes de dessiner un pénis près d'une base russe en Syrie" expliquant cette forme par "ajustement de trajectoire".
Displegadennoù diwar-benn ar raktres "Horizon" gant an Aotrou maer, Jean-Yves Rolland hag gant tud all deus Kallag.